Daabaaru Agri

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Agriculture et chiffres

PLAN D’INVESTISSEMENTS AGRICOLES ET SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU BENIN .

La seconde phase quinquennale 2022-2025 adoptée en conseil des ministres Le conseil des ministres du mercredi 3 avril 2024 a adopté la seconde phase quinquennale du Plan National d’Investissements Agricoles et de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle. Cette seconde phase couvre la période 2022-2025. Ce plan est un cadre de référence en matière de de planification des actions à moyen terme dans le secteur agricole. Ulrich DADO TOSSOU Après l’exécution de la première phase, le gouvernement passe à la seconde phase. Cette phase a été adoptée par le conseil des ministres suite à sa validation par les acteurs du secteur agricole le 22 mars 2024. Le gouvernement est satisfait de l’exécution de la première phase. «Ce Plan, véritable cadre de référence en matière de planification des actions à moyen terme dans le secteur agricole de 2017 à 2025, est décliné en deux phases quinquennales» précise le relevé du conseil des ministres. Le plan implique tous les acteurs publics et privés. Il est assorti d’un dispositif consolidé de suivi-évaluation leur permettant de rendre compte périodiquement du niveau d’atteinte des objectifs et d’opérer, au besoin, des ajustements pour plus d’impact sur la population. Et pour plus d’efficacité, le dispositif a prévu la collecte, l’analyse et le traitement des données pour alimenter notamment les actions du Conseil national d’orientation et de suivi du secteur agricole. On peut dire que ce plan vise à impacter les investissements agricoles et la sécurité alimentaire du pays. Les fruits tiendront la promesse des fleurs ?

Agriculture et chiffres

SIXIEME SEMAINE DE COMMERCIALISATION DES NOIX DE CAJOU AU BÉNIN.

Le prix moyen par kilogramme a augmenté de 8 Fcfa La Fédération nation des producteurs d’anacarde du Bénin (Fenapab) a mis à la disposition de tous, le sixième bulletin sur le prix du cajou au Bénin pour le compte de la semaine du 28 mars au 3 avril 2024. Publié le jeudi 4 avril 2024, ce bulletin montre une fluctuation de prix sur le plan national, soit une augmentation de 8 Fcfa en moyenne par rapport à celle écoulée. Alors que la demande reste forte dans certaines zones du pays, les prix continuent de d’augmenter. Ce qui reflète le dynamisme de l’offre et de la demande. Ulrich DADO TOSSOU Le marché de noix de cajou a affiché un dynamisme la semaine écoulée. En effet, le prix moyen est passé de 314 à 322 Fcfa par Kg, soit une augmentation de 8 Fcfa par rapport à la semaine du 28 mars au 3 avril 2024. L’analyse du sixième bulletin sur le prix du cajou au Bénin publié par la Fenapab expose une gamme de prix qui oscillent entre 250 et 400 Fcfa. Ainsi, les prix minimum varient selon les régions. Atacora-Donga 250 Fcfa puis Borgou-Alibori et Zou-Collines 275 Fcfa enfin l’Ouémé-Plateau 300 Fcfa. En ce qui concerne les prix plafond, le Borgou-Alibori et l’Ouémé-Plateau sont à 350 Fcfa contre respectivement 350 et 375 Fcfa la semaine précédente. Quant à la région Zou-Collines, elle reste stable à 375 Fcfa. Néanmoins, dans l’Atacora-Donga le prix a grimpé à 400 Fcfa contre 385 Fcfa la semaine écoulée. «Cette situation de prix au niveau de l’Atacora Donga est due à la pénétration des acheteurs étrangers dans les communes comme Bassila», précise le bulletin.Offre et demande par régionsDurant la semaine, l’offre de la noix de cajou est qualifiée de presque moyenne dans toutes les régions. Dans l’Atacora-Donga et Borgou-Alibori la demande est forte tandis que dans l’Ouémé-Plateau et Zou-Collines, elle est moyenne. Une observation importante concerne la région de l’Ouémé-Plateau, où les Nigérians autrefois régulièrement présents, commencent à se retirer du marché. Selon ce bulletin hebdomadaire, c’est cette situation qui occasionne la baisse de prix dans cette zone. Par conséquent, le prix moyen sur le plan national est passé à 322 Fcfa par Kilogramme, soit une augmentation de 8 Fcfa par rapport à la semaine écoulée.L’augmentation du prix moyen est influencée par divers facteurs tels que l’offre et la demande, la présence des acheteurs étrangers avec des tendances variables d’une région à une autre et d’une semaine à l’autre. Source : cellule de communication de le Fenapab.

Agrobusiness, Nutrition et Santé

FLAMBLEE DU PRIX DU MAÏS GRAIN AU BENIN. Les prémices d’une crise alimentaire intolérable

Au Bénin le prix du maïs grain monte en flèche dans les marchés ces derniers jours. Le prix de la bassine de 25 kg varie entre 8500-9000 Fcfa à Parakou. A cette même période en 2023 la bassine était autour de 4000 Fcfa. Ce qui fait redouter une crise alimentaire qu’on ne saurait tolérer au regard de la stabilité politique du pays. Malik SOULEMANE «Nous allons manger le riz jusqu’au dégoût!» Ce sont les propos d’une vendeuse de « tchoucoutou » lors d’une discussion sur la flambée du prix de maïs dans son cabaret au quartier Okedama à Parakou. Cette déclaration doit inquiéter quand on sait que pour être en bon état nutritionnel il faut diversifier et varier son alimentation. Et lorsque l’alimentation n’est pas variée, les risques pour la santé sont nombreux. Les propos de la dame sont la quintessence de comment les ménages gèrent cette flambée. Cette situation impacte particulièrement les ménages pauvres. Et quand on sait que le lit du pauvre est fécond, on peut s’imaginer le nombre d’enfants que cela touche au quotidien. L’alimentation des enfants dans les mille premiers jours de leur vie détermine la qualité des hommes de demain. Au regard de l’impact de cette flambée sur les enfants, cette situation doit être prise très au sérieux. Le gouvernement doit donc dans l’urgence trouver les mécanismes de régulation pour arrêter la saignée. Importance du maïsLe maïs dont les graines présentent de par leur abondance et leur composition un intérêt majeur pour l’alimentation au Bénin. En 2021-2022 le Bénin a produit 1.628.149 tonnes selon les statistiques du ministère en charge de l’agriculture. Au top 5 des communes productrices selon le ministère on note Kétou, Kandi, Kérou, Banikoara et Gogounou. Les principales variétés cultivées sont Kugnaayi, Ilujama, Mougnagui, Vovonombakin, Saki Faba, Ya Koura Guinm, Djéma Bossi, Inon-Didon, Ouyè, Miss Ina, Faaba/Qpm, etc. La diversité épatante des variétés cultivées et les quantités impressionnantes de production du maïs au Bénin montrent l’importance de cette culture ainsi que les travaux de recherches qui sont consacrées à cette dernière. Raisons de la flambéeEn économie la flambée des prix porte le nom d’inflation. A ne pas confondre avec infraction du code de la route par exemple qui fait l’actualité du pays. La justification technique de l’inflation observée est que l’offre du maïs est inférieure à la demande. Les commerçantes confirment cette justification par la rareté du maïs. «La faible production du maïs et la présence des marchands nigérians en fait la rareté» argumente dame Worou Kinnou Clémentine, commerçante au quartier Gbira à Parakou. Quant à la commerçante Seidou Zinatou au marché Zongo de Parakou, «La rareté du maïs est due au faible rendement cette année». Les producteurs joints à Kandi et Djougou sont allés dans le même sens que les commerçantes. La rareté, selon eux est due au faible rendement cette année. De toutes les façons, qui dit inflation dit rareté. Le maïs devient rare au Bénin et une crise alimentaire dans un pays qui connait une stabilité politique est intolérable.

Agrobusiness

N’DALI/AGRO HIKARI. Un pique-nique à la ferme Tounré

Vivez une immersion totale dans la nature. Agro Hikari organise le samedi 13 Avril 2024 une journée pique-nique en plein air. L’événement se tiendra à la ferme agricole Tounré à N’Dali. Réseautage, agrotourisme, tour en pirogue, jeux divers et restauration sont au menu pour vous rapprocher davantage du paysage champêtre de la ferme. Les frais de participation s’élève à 10 000 fcfa donnant droit aux diverses activités et à la restauration. Ne manqué surtout pas cette occasion. Prenez vos tickets par WhatsApp au +229 53 51 34 30

Agrobusiness, Nutrition et Santé

NIGERIA/AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE. Dangote offre 10 000 tonnes de riz aux familles pauvres

Le milliardaire nigérian Aliko Dangote a contribué à hauteur de 10 millions de dollars à la lutte contre la famine dans son pays. Un million de sacs de 10 kg de riz seront distribués dans 774 zones de gouvernement local des 36 États du Nigeria courant ce mois de jeûne du Ramadan. Malik SOULEMANE La générosité c’est la marque des gens de cœur. Le milliardaire nigérian a initié un programme de don de riz aux familles pauvres. Un programme qui fait appel au sens de compassion et de solidarité qui sont des valeurs à sauvegarder dans un monde où les inégalités sont de plus en criardes. «Notre distribution de riz symbolise notre engagement à défendre les valeurs de compassion et de solidarité, qui sont au cœur de notre humanité. Les modalités du programme impliquent une collaboration avec les gouvernements étatiques et locaux et les partenaires communautaires locaux pour garantir une livraison efficace du riz aux plus vulnérables à travers le pays, quels que soient l’État, la tribu, le sexe, la religion, la politique ou d’autres attributs», a précisé Aliko Dangoté lors du lancement officiel de ce programme.Le gouverneur de l’Etat de Kano a salué la générosité du milliardaire à travers ce geste de la Fondation Dangote connue pour son engagement en faveur de l’autosuffisance alimentaire et la lutte contre la pauvreté au Nigeria. Créée en 1981, la Fondation Aliko Dangote est à la tête d’initiatives en matière d’éducation, de soins de santé et d’autonomisation économique à travers le continent. Source : Africatopsucess

Agrobusiness

BENIN/EXPORTATION DE SOJA GRAIN ET DE NOIX DE CAJOU. Les produits frappés de restrictions

Le soja grain et les noix de cajou brutes interdits d’exportation dès le lundi 1er avril 2024. C’est ce qu’a annoncé le communiqué de la Directrice générale de la douane le vendredi 29 mars 2024. Malik SOULEMANE Une nouvelle polémique s’ouvre pour le soja et les noix de cajou au Bénin. La Direction générale de la douane interdit l’exportation de soja et de noix de cajou à partir du 1er avril 2024. Conformément au décret n°2022-568 du 12 octobre 2022 l’exportation du soja et de noix de cajou brutes est interdite à partir de ce lundi 1er avril 2024. Cette mesure est rendue publique par la Directrice générale de la douane par un communiqué du vendredi 29 mars 2024 notifiant l’entrée en vigueur dudit décret.Cependant selon les termes de ce décret, les exportateurs de soja et de noix de cajou brutes doivent au préalable obtenir une agrégation du Ministre en charge du commerce. «En conséquence, toute opération d’exportation des noix de cajou ou du soja grain sera subordonnée à la délivrance d’une autorisation du Ministre chargé du commerce qui s’assure au préalable de la satisfaction effective des besoins des transformateurs locaux», a notifié la directrice générale de la douane dans ce communiqué. Cette décision fait suite à une annonce faite lors du conseil des ministres en sa séance du mercredi 12 octobre 2022 sous la présidence du président Patrice Talon. Cette décision est justifiée par la volonté du gouvernement à soutenir l’essor industriel dans le pays en raison de la croissance de la production et d’installation des usines de transformation dans la zone industrielle de Glo-Djigbé (Gdiz). Elle transforme à ce jour plus de 100 000 tonnes de noix de cajou par an à travers cinq unités opérationnelles. A la fin de l’année 2024, cette zone industrielle devrait être en mesure de transformer 600 000 tonnes de soja par an, contribuant ainsi à la croissance de l’industrie locale. Source : Africaho Post précédent

Environnement

JOURNEE MONDIALE DE LA METEOROLOGIE. Météo-Bénin sacrifie à la tradition

Le 23 mars 2024 était la 64è journée mondiale de la météorologie. A cette occasion, l’Agence nationale de météorologie du Bénin (Météo-Bénin) a réfléchi sur le thème de cette édition qui est « En première ligne de l’action climatique ». Plusieurs acteurs de la météorologie ont participé à cette célébration à Cotonou. Ulrich DADO TOSSOU La météorologie est comme la canne d’un aveugle dans le contexte de changement climatique. A cet effet elle requiert une attention particulière dans nos pays et au plan onusien. La journée internationale de la météorologie commémore l’entrée en vigueur de la Convention qui a institué l’Organisation météorologique mondiale (Omm) le 23 mars 1950. Pour célébrer cette journée dans tous les pays membres dont le Bénin, un thème est choisi chaque année. Le thème de cette année 2024 est « En première ligne de l’action climatique ». A en croire Didier Kakpa, directeur général de Météo-Bénin, rapporté par Guérite Monde TV, « L’Organisation météorologique mondiale a choisi ce thème afin de permettre aux services météorologiques nationaux de sensibiliser les populations aux meilleures pratiques d’adaptation au changement climatique». Le changement climatique représente une menace qui fragilise différents secteurs d’activités notamment celui de l’agro-pastoral. «Dans nos villages, les changements climatiques sont une menace réelle et indéniable pour l’ensemble des activités agro-pastorales.» déplore Caren Gbaguidi, représentant de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna) à cette célébration. Il s’est par ailleurs prononcé sur les désastres qu’engendrent les aléas climatiques dans nos villes et a fait une projection : «Dans nos villes, les inondations et îlots de vapeurs apportent leur lot de désagréments à la quiétude de la population. Ces effets visibles seront catastrophiques si rien n’est fait». La célébration de cette journée a été précédemment agrémentée par des journées portes ouvertes au public du 21 au 22 mars 2024. C’était l’occasion pour les visiteurs de découvrir le travail des météorologues. Une marche marathon a été organisée ce samedi 23 mars, suivie de la cérémonie d’ouverture marquée par plusieurs communications en lien avec le thème. Face à la triste réalité des changements climatiques, la Météo-Bénin a renouvelé lors de cette journée, son désir ardent d’assurer un lendemain meilleur, loin des changements climatiques et de leurs effets indésirables. A cet effet, la Météo-Benin s’est engagée à réduire l’impact des changements climatiques dans les villes et campagnes et à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, le Gouvernement du Bénin, conscient de cette menace, ne ménage aucun effort face à cette situation. A ce propos, Didier Kakpa a fait savoir les mesures prises par le Gouvernement : «La réhabilitation de la voirie urbaine, notamment le projet Asphaltage, a considérablement amélioré la mobilité dans nos villes, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre et favorisant des modes de transports plus durables. De même, les efforts dans l’assainissement pluvial à Cotonou avec le projet Papc et dans d’autres villes secondaires ont permis de renforcer la résilience de nos infrastructures face aux événements météorologiques extrêmes». Quant à Élie Napporn, président du conseil d’administration de Météo-Bénin et représentant du ministre du Cadre de vie et des Transports, chargé du Développement durable «Que la journée du 23 mars ne soit pas considérée comme une journée de célébration mais plutôt comme une journée de défis à relever pour permettre à tous ceux qui ont besoin de données météorologiques d’améliorer leur cadre de vie et d’agir de façon durable sur l’environnement. Donc, donnez le meilleur de vous-mêmes pour que les objectifs fixés soient atteints en toute harmonie». Au terme de cette célébration, le Directeur général de Météo-Bénin, au nom du personnel de sa structure et de l’ensemble des météorologues béninois, a pris l’engagement de redoubler d’efforts pour faire face aux défis des changements climatiques et de travailler en synergie afin de bâtir un monde plus résilient pour les générations à venir. Source : La Nation Bénin & Guerite Tv Monde.

Agrobusiness, Nutrition et Santé

VENTE À LA SAUVETTE DES CAROTTES IMPORTEES A PARAKOU. Un business qui défie toutes règles de concurrence et d’hygiène

II est de plus en plus constaté depuis quelques temps, la vente à la sauvette des légumes dans la ville de Parakou notamment les carottes. Importées depuis le Nigéria, ces légumes sont vendues généralement dans des brouettes par des jeunes hommes venus de l’étranger. En raison de leurs goûts succulents et leurs prix très abordables, elles sont de plus en plus appréciées des consommateurs. Ce qui n’est pas sans conséquences sur le revenu des bonnes dames dans les marchés. Mouleykatou SOULEYMANE & Ulrich DADO TOSSOU C’est un nouveau business qui défie toute concurrence sur le marché. Il s’agit de la vente à la sauvette des carottes importées, souvent vendues dans des brouettes par des jeunes hommes. Originaires du Nigéria et du Niger, ces vendeurs ambulants sont pour la plupart les producteurs de ces légumes. Ces carottes sont produites au Nigéria et importées au Bénin via des pirogues. Elles passent par la commune de Malanville avant d’être acheminées à Parakou par taxi.Ils sont nombreux, à parcourir les rues et les marchés de la cité des Kobourou dans le but d’écouler leurs produits. Ces derniers voient en cette activité une énorme source de revenu. A ce propos Dassiou A., vendeur ambulant de carottes affirme «je vends mes carottes à petit prix, 50 Fcfa, 100 Fcfa et 200 Fcfa mais je tire beaucoup de bénéfice». Un autre vendeur venu de Sokoto au Nigéria a fait savoir que «les gens voient que c’est moins cher. Mais on arrive à se faire de l’argent».En effet, cette politique de prix n’avantage pas les vendeuses de légumes locaux. C’est dans ce sens que Zoubéra Tamimou revendeuse de légumes au marché Arzèkè a révélé que cette concurrence des prix a changé la donne. «Avec l’arrivée des vendeurs étrangers, la vente n’est plus comme avant. Les carottes importées sont moins chères, plus sucrées», a-t-elle fait savoir. Elle a notamment laissée entendre qu’elle prend ses carottes chez d’autres vendeuses qui s’approvisionnent chez les jardiniers de la ville de Parakou.Une autre vendeuse du même marché A.b. estime qu’elle vend les carottes de même qualité que les vendeurs en brouette. «Mais les gens préfèrent acheter pour ces derniers plutôt que de venir dans le marché», a-t-elle déclaré. Il faut noter que A.b. prend ses carottes chez les jardiniers de la ville. Selon elle, chez son fournisseur, «le prix des carottes varie entre 6000 et 5000 Fcfa la planche quand c’est chère ou encore 2500 à 3500 Fcfa la planche quand c’est moins chère. Actuellement l’unité est à 150 Fcfa mais 125 Fcfa si c’est en gros».Du côté des consommateurs, c’est une occasion d’obtenir des carottes de bonne qualité à des prix abordables. A.k., conducteur de taxi-moto a laissé entendre que «les carottes vendues dans les brouettes sont moins chers et plus sucrées. On les croise un peu partout».Il faut noter que les vendeurs ambulants, tout comme les revendeuses dans les marchés exposent ces légumes à l’air libre. Une attitude qui va à l’encontre des règles d’hygiène. Les clients doivent donc prendre soin de bien nettoyer ces carottes avant toute consommation.

Agriculture, Agrobusiness, Droit et politiques agricoles, Écho de nos fermes, Edito, Environnement, Nutrition et Santé

Daabaaru Agri, pour un futur qui pousse. Une équipe dynamique prête à donner le meilleur

Daabaaru Agri porté dans le sein de la société de presse et de communication Bok Sarl est né. C’est une presse thématique qui aborde des questions d’agriculture, nutrition, santé, changement climatique, foncier rural, etc. Avec des rubriques Tebo N’Gari, Agriculture et Chiffres et Femmes et Agriculture, ce joyau est animé par des agronomes ayant des connaissances solides en journalisme. Né pour répondre à un besoin pressant de la société, Daabaaru Agri se veut incontournable pour l’ensemble des acteurs du secteur auxquelles il compte se spécialiser. Malik SOULEMANE Jamais deux sans trois. Après avoir engrangé des succès avec le quotidien « Daabaaru » et « Daabaaru Tv », Barnabas Orou Kouman, Président directeur général (Pdg) de la société de presse et de communication Bok Sarl veut rééditer l’exploit pour une troisième fois. En effet, Daabaaru Agri est né au sein de cette agence référence de la communication dans le septentrion pour contribuer au développement agricole du pays. C’est un hebdomadaire qui paraît tous les mercredis pour mettre en lumière les réalités ignorées du monde agricole. Il vise également à mettre en relation les producteurs du Bénin avec leurs pairs de l’Europe. Une mission spécifiqueDaabaaru Agri c’est une presse thématique pour rapporter et analyser l’actualité agricole dans le septentrion, au Bénin et en Afrique de manière générale. Il est spécialisé sur les questions d’agriculture, de nutrition, de santé et surtout du changement climatique. Aux maux que laissent le changement climatique dans nos communautés rurales, Daabaaru Agri mettra des mots afin d’informer le public et que les gouvernants et les partenaires agissent plus vite au profit de ces communautés. Daabaaru Agri c’est aussi des rendez-vous réguliers sur les rubriques « Tebo N’gari », « Agriculture et Chiffres » et « Femmes et Agriculture ». La force de Daabaaru AgriUne mission, des hommes et des moyens, dit-on. Daabaaru Agri est animé par une équipe composée des spécialistes agronomes avec des connaissances solides en journalisme presse écrite. Prenez donc le rendez-vous chaque mercredi avec des rubriques « Tebo N’gari » pour lire des histoires personnelles des producteurs, « Agriculture et Chiffres » pour lire l’évolution en chiffres du secteur, « Femmes et Agriculture » pour lire le rôle de la femme sous toutes ses formes (entrepreneuriat, innovation, etc.) dans le secteur agricole, etc. Daabaaru Agri aborde des domaines diversifiés et variés du monde agricole pour informer autrement. Il ne vous reste maintenant qu’une seule adresse chaque mercredi, c’est Daabaaru Agri sis au quartier Wansirou, carrefour aérodrome, immeuble Daabaaru, Parakou aux (+229) 95954268/63066306.

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