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Nutrition et Santé

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NUTRITION ET SANTE: Les bienfaits de la consommation des fruits et légumes

Les fruits et légumes font partie du quotidien de tout un chacun. Cependant très peu saisissent l’importance de la consommation de ceux-ci pour la santé humaine. Dans une interview accordée à notre rédaction le diététicien Serge Patrick Zinvoedo expose tout ce qu’il faut savoir sur le sujet. Mouleykatou SOULEYMANE Daabaaru Agri : Pouvez-vous nous dire ce que c’est qu’un fruit ? Ce que c’est  qu’un légume ? Serges Patrick Zinvoedo : Un fruit, un légume ça se regroupe en deux formes, les macronutriments et les micronutriments. Les fruits et légumes font partie des micronutriments. Les micronutriments sont des aliments qui contiennent des vitamines, du zinc, les oligoéléments, les magnésiums, les potassiums et aussi d’autres nutriments naturels biologiques. La différence d’un fruit et d’un légume est qu’on peut cuire les légumes à une cuisson à la vapeur et bénéficier de leurs vertus, leurs vitamines. Mais les fruits ne vont pas au feu. Les fruits sont consommables à cause du type de glucides qui se retrouve dedans à l’état naturel. Donc les fruits et légumes sont des aliments qui sont riches en fibre, vitamines et minéraux accessible à l’organisme, pour jouer naturellement son rôle. Quels sont les bienfaits de la consommation des fruits et légumes? Ça a trop de bienfaits. D’abord ça permet aux cellules de trouver les types de vitamines et minéraux dont elles ont besoin pour jouer les rôles des cellules des membranes des tissus et de même que les muscles. Les fruits et les  légumes maintiennent l’organisme, réduit le poids, maintiennent les organes, permet à l’être humain d’avoir un bon taux de fibres dans l’organisme et avoir une bonne digestion de tout ce qu’il mange. Quelqu’un qui mange beaucoup de légume, tombe rarement malade. Donc, il nourrit déjà les cellules du sang. Les cellules du sang vous savez, nous avons des plaquettes, les globules blancs, les globules rouges. Donc, il défend le système immunitaire. Plus l’on consomme les légumes et fruits, plus l’on maintient son poids, l’on évite les infections et l’on a une longue vie parce qu’on nourrit les organes et les cellules. Celui qui mange pour manger, il peut banalement se créer des problèmes. Par contre, les fruits et légumes sont gorgés de minéraux qui apportent des nutriments importants aux organes. Que doit-on privilégier entre les légumes et les fruits ? Les deux sont importants, parce que c’est ça qui fait la vitalité des organes. On ne doit jamais s’en passer des fruits et légumes. Celui qui consomme les fruits et légumes aura une plus longue vie que celui qui consomme les lipides, les glucides et les protéines. Par exemple celui qui prend des protéines et des fruits et légumes il a totalement gagné sa vie, une longue vie. Et quand je parle de protéines nous avons les protéines végétales et les protéines animales.  Alors celui qui prend plus les protéines végétales avec les fruits et légumes il a une longue vie. Il durera longtemps. Quels sont les préliminaires à observer avant de consommer un légume ? Avant de consommer un légume il faut bien les nettoyer. Que ce soit un légume ou un fruit il faut bien les nettoyer. Surtout avec de l’eau salée et de l’eau au citron. C’est-à-dire vous pressez deux jus de citron dans trois litres d’eau et y laissez les fruits et légumes pendant un temps. Au moins 5 à 10 minutes pour que les parasites, les infections soient brûlés. Et vous relaver encore avec de l’eau salée et vous pouvez consommer votre légume ou fruit. Quel est le ratio conseillé pour une personne en matière de consommation des fruits et légumes? En matière de ratio de consommation, 200g de fruits et 200g de légumes sont généralement conseillés pour une consommation journalière. On ne peut pas dire deux oranges par jour ou deux bananes si la personne est diabétique. 200g ça n’atteint même pas deux orange. Quand on ne connait pas le patient il faut être en dessous. 200g de chaque type c’est bon. Quels conseils avez-vous à l’endroit de la population ? Mon conseil c’est d’aimer les légumes et les fruits. Mais attention, les fruits ici il faut distinguer les fruits très riches en glucides, c’est-à-dire la mangue, ananas, papaye, dattes. Tout ça c’est des fruits qui sont très riches en glucides et ça peut provoquer le diabète. Car, celui qui consomme les fruits riches en glucides il consomme déjà du sucre, donc il doit faire beaucoup attention les soirs. Les fruits très riches en glucides se consomment le matin et se limitent avant 16h. Il faut aimer prendre les fruits riches en glucides les matins mais en petites quantités, exceptés les diabétiques. Eux ne doivent pas en consommer, ils doivent plus consommer les noix sèches, c’est-à-dire, les fruits secs. Évitez de trop consommer les fruits riches en sucre et aimez plus le baobab, le tamarin, chap-chap, orange, citron, pamplemousse. Voilà des fruits comme ça qui ne sont pas  très riches en sucre. Propos recueillis et transcrits par Mouleykatou SOULEYMANE

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CELEBRATION DE LA JOURNEE AFRICAINE DE L’ALIMENTATION SCOLAIRE

Le Pam loue les efforts du Bénin pour les cantines scolaires En collaboration avec le Programme Alimentaire Mondial (Pam), le Ministère des Enseignements Maternel et Primaire au Bénin a procédé au lancement officiel de la 9ème édition de la journée africaine de l’alimentation dans la commune d’Abomey-Calavi. C’était le jeudi 21 mars 2024. Les indicateurs montrent de belles perspectives pour atteindre les 100% de couverture à l’horizon 2026. Cette cérémonie a été marquée par la présence des autorités locales, des partenaires techniques et financiers ainsi que des élèves et des parents d’élèves. Le représentant du Pam a salué les efforts du Bénin pour les cantines scolaires. Ulrich DADO TOSSOU «Investir dans l’alimentation scolaire locale pour transformer les systèmes éducatifs – pour un avenir inclusif et prospère du continent africain», est le thème retenu de cette édition. Les manifestations dans le cadre cette célébration se sont déroulées à l’école primaire publique d’Anagbo Ahowegodo dans la commune d’Abomey-Calavi. Le Ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, et le Représentant résident du Programme alimentaire mondial (Pam) au Bénin, Ali Ouattara, ont officiellement lancé la 9ème édition de la journée africaine de l’alimentation scolaire. Cet événement a rassemblé un large éventail de participants, notamment des autorités politico-administratives, des partenaires techniques et financiers, ainsi que des écoliers et des parents d’élèves.Au cours de cette journée, le Représentant du Pam a témoigné que le Programme d’alimentation scolaire intégré (Pnasi) du Bénin représente une source de fierté nationale, bénéficiant d’une reconnaissance tant au niveau continental que mondial, ainsi que d’un soutien continu des donateurs. Les interventions ont mis en lumière l’engagement renouvelé des acteurs locaux, y compris les directeurs d’écoles et les présidents d’associations de parents d’élèves, envers le gouvernement béninois pour le succès du programme d’alimentation scolaire. Le maire de la commune d’Abomey-Calavi, Angelo Ahouandjinou, a mis l’accent sur l’importance de l’alimentation scolaire comme un outil de paix, favorisant l’accès et le maintien des enfants à l’école. La mobilisation de fonds, notamment à travers un téléthon organisé pour les cantines scolaires en 2022, ainsi que la promotion des produits alimentaires locaux, ont été citées comme des éléments clés du succès du Pnasi. Ali Ouattara a également souligné le leadership du gouvernement béninois dans la promotion de ces produits locaux, favorisant ainsi l’intégration au tissu économique local.Le Pnasi bénéficie à plus d’un million trois cent mille écoliers au Bénin, dont 45% sont des filles, recevant un repas scolaire chaud par jour. Cela représente plus de 10% de la population du pays. Ce programme est considéré comme un investissement essentiel pour le renforcement du capital humain, favorisant le développement économique et social à travers la valorisation des chaînes de valeur locales.Le Ministre Salimane Karimou quant à lui, a souligné l’importance de l’alimentation scolaire comme pilier de la promotion de l’éducation pour tous, contribuant ainsi au développement durable du pays. Les indicateurs montrent une évolution significative du taux de couverture, passant de 31% en 2016 à plus de 60% en 2022, avec des perspectives prometteuses d’atteindre les 100% d’ici 2026. Cette journée africaine de l’alimentation scolaire a mis en évidence les progrès remarquables réalisés par le Bénin dans ce domaine, ainsi que les efforts continus pour renforcer et étendre le Pnasi. L’engagement envers une alimentation scolaire de qualité est un témoignage fort de la détermination du pays à investir dans l’avenir de sa jeunesse. Source : site du Gouvernement

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FLAMBLEE DU PRIX DU MAÏS GRAIN AU BENIN. Les prémices d’une crise alimentaire intolérable

Au Bénin le prix du maïs grain monte en flèche dans les marchés ces derniers jours. Le prix de la bassine de 25 kg varie entre 8500-9000 Fcfa à Parakou. A cette même période en 2023 la bassine était autour de 4000 Fcfa. Ce qui fait redouter une crise alimentaire qu’on ne saurait tolérer au regard de la stabilité politique du pays. Malik SOULEMANE «Nous allons manger le riz jusqu’au dégoût!» Ce sont les propos d’une vendeuse de « tchoucoutou » lors d’une discussion sur la flambée du prix de maïs dans son cabaret au quartier Okedama à Parakou. Cette déclaration doit inquiéter quand on sait que pour être en bon état nutritionnel il faut diversifier et varier son alimentation. Et lorsque l’alimentation n’est pas variée, les risques pour la santé sont nombreux. Les propos de la dame sont la quintessence de comment les ménages gèrent cette flambée. Cette situation impacte particulièrement les ménages pauvres. Et quand on sait que le lit du pauvre est fécond, on peut s’imaginer le nombre d’enfants que cela touche au quotidien. L’alimentation des enfants dans les mille premiers jours de leur vie détermine la qualité des hommes de demain. Au regard de l’impact de cette flambée sur les enfants, cette situation doit être prise très au sérieux. Le gouvernement doit donc dans l’urgence trouver les mécanismes de régulation pour arrêter la saignée. Importance du maïsLe maïs dont les graines présentent de par leur abondance et leur composition un intérêt majeur pour l’alimentation au Bénin. En 2021-2022 le Bénin a produit 1.628.149 tonnes selon les statistiques du ministère en charge de l’agriculture. Au top 5 des communes productrices selon le ministère on note Kétou, Kandi, Kérou, Banikoara et Gogounou. Les principales variétés cultivées sont Kugnaayi, Ilujama, Mougnagui, Vovonombakin, Saki Faba, Ya Koura Guinm, Djéma Bossi, Inon-Didon, Ouyè, Miss Ina, Faaba/Qpm, etc. La diversité épatante des variétés cultivées et les quantités impressionnantes de production du maïs au Bénin montrent l’importance de cette culture ainsi que les travaux de recherches qui sont consacrées à cette dernière. Raisons de la flambéeEn économie la flambée des prix porte le nom d’inflation. A ne pas confondre avec infraction du code de la route par exemple qui fait l’actualité du pays. La justification technique de l’inflation observée est que l’offre du maïs est inférieure à la demande. Les commerçantes confirment cette justification par la rareté du maïs. «La faible production du maïs et la présence des marchands nigérians en fait la rareté» argumente dame Worou Kinnou Clémentine, commerçante au quartier Gbira à Parakou. Quant à la commerçante Seidou Zinatou au marché Zongo de Parakou, «La rareté du maïs est due au faible rendement cette année». Les producteurs joints à Kandi et Djougou sont allés dans le même sens que les commerçantes. La rareté, selon eux est due au faible rendement cette année. De toutes les façons, qui dit inflation dit rareté. Le maïs devient rare au Bénin et une crise alimentaire dans un pays qui connait une stabilité politique est intolérable.

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NIGERIA/AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE. Dangote offre 10 000 tonnes de riz aux familles pauvres

Le milliardaire nigérian Aliko Dangote a contribué à hauteur de 10 millions de dollars à la lutte contre la famine dans son pays. Un million de sacs de 10 kg de riz seront distribués dans 774 zones de gouvernement local des 36 États du Nigeria courant ce mois de jeûne du Ramadan. Malik SOULEMANE La générosité c’est la marque des gens de cœur. Le milliardaire nigérian a initié un programme de don de riz aux familles pauvres. Un programme qui fait appel au sens de compassion et de solidarité qui sont des valeurs à sauvegarder dans un monde où les inégalités sont de plus en criardes. «Notre distribution de riz symbolise notre engagement à défendre les valeurs de compassion et de solidarité, qui sont au cœur de notre humanité. Les modalités du programme impliquent une collaboration avec les gouvernements étatiques et locaux et les partenaires communautaires locaux pour garantir une livraison efficace du riz aux plus vulnérables à travers le pays, quels que soient l’État, la tribu, le sexe, la religion, la politique ou d’autres attributs», a précisé Aliko Dangoté lors du lancement officiel de ce programme.Le gouverneur de l’Etat de Kano a salué la générosité du milliardaire à travers ce geste de la Fondation Dangote connue pour son engagement en faveur de l’autosuffisance alimentaire et la lutte contre la pauvreté au Nigeria. Créée en 1981, la Fondation Aliko Dangote est à la tête d’initiatives en matière d’éducation, de soins de santé et d’autonomisation économique à travers le continent. Source : Africatopsucess

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VENTE À LA SAUVETTE DES CAROTTES IMPORTEES A PARAKOU. Un business qui défie toutes règles de concurrence et d’hygiène

II est de plus en plus constaté depuis quelques temps, la vente à la sauvette des légumes dans la ville de Parakou notamment les carottes. Importées depuis le Nigéria, ces légumes sont vendues généralement dans des brouettes par des jeunes hommes venus de l’étranger. En raison de leurs goûts succulents et leurs prix très abordables, elles sont de plus en plus appréciées des consommateurs. Ce qui n’est pas sans conséquences sur le revenu des bonnes dames dans les marchés. Mouleykatou SOULEYMANE & Ulrich DADO TOSSOU C’est un nouveau business qui défie toute concurrence sur le marché. Il s’agit de la vente à la sauvette des carottes importées, souvent vendues dans des brouettes par des jeunes hommes. Originaires du Nigéria et du Niger, ces vendeurs ambulants sont pour la plupart les producteurs de ces légumes. Ces carottes sont produites au Nigéria et importées au Bénin via des pirogues. Elles passent par la commune de Malanville avant d’être acheminées à Parakou par taxi.Ils sont nombreux, à parcourir les rues et les marchés de la cité des Kobourou dans le but d’écouler leurs produits. Ces derniers voient en cette activité une énorme source de revenu. A ce propos Dassiou A., vendeur ambulant de carottes affirme «je vends mes carottes à petit prix, 50 Fcfa, 100 Fcfa et 200 Fcfa mais je tire beaucoup de bénéfice». Un autre vendeur venu de Sokoto au Nigéria a fait savoir que «les gens voient que c’est moins cher. Mais on arrive à se faire de l’argent».En effet, cette politique de prix n’avantage pas les vendeuses de légumes locaux. C’est dans ce sens que Zoubéra Tamimou revendeuse de légumes au marché Arzèkè a révélé que cette concurrence des prix a changé la donne. «Avec l’arrivée des vendeurs étrangers, la vente n’est plus comme avant. Les carottes importées sont moins chères, plus sucrées», a-t-elle fait savoir. Elle a notamment laissée entendre qu’elle prend ses carottes chez d’autres vendeuses qui s’approvisionnent chez les jardiniers de la ville de Parakou.Une autre vendeuse du même marché A.b. estime qu’elle vend les carottes de même qualité que les vendeurs en brouette. «Mais les gens préfèrent acheter pour ces derniers plutôt que de venir dans le marché», a-t-elle déclaré. Il faut noter que A.b. prend ses carottes chez les jardiniers de la ville. Selon elle, chez son fournisseur, «le prix des carottes varie entre 6000 et 5000 Fcfa la planche quand c’est chère ou encore 2500 à 3500 Fcfa la planche quand c’est moins chère. Actuellement l’unité est à 150 Fcfa mais 125 Fcfa si c’est en gros».Du côté des consommateurs, c’est une occasion d’obtenir des carottes de bonne qualité à des prix abordables. A.k., conducteur de taxi-moto a laissé entendre que «les carottes vendues dans les brouettes sont moins chers et plus sucrées. On les croise un peu partout».Il faut noter que les vendeurs ambulants, tout comme les revendeuses dans les marchés exposent ces légumes à l’air libre. Une attitude qui va à l’encontre des règles d’hygiène. Les clients doivent donc prendre soin de bien nettoyer ces carottes avant toute consommation.

Agriculture, Agrobusiness, Droit et politiques agricoles, Écho de nos fermes, Edito, Environnement, Nutrition et Santé

Daabaaru Agri, pour un futur qui pousse. Une équipe dynamique prête à donner le meilleur

Daabaaru Agri porté dans le sein de la société de presse et de communication Bok Sarl est né. C’est une presse thématique qui aborde des questions d’agriculture, nutrition, santé, changement climatique, foncier rural, etc. Avec des rubriques Tebo N’Gari, Agriculture et Chiffres et Femmes et Agriculture, ce joyau est animé par des agronomes ayant des connaissances solides en journalisme. Né pour répondre à un besoin pressant de la société, Daabaaru Agri se veut incontournable pour l’ensemble des acteurs du secteur auxquelles il compte se spécialiser. Malik SOULEMANE Jamais deux sans trois. Après avoir engrangé des succès avec le quotidien « Daabaaru » et « Daabaaru Tv », Barnabas Orou Kouman, Président directeur général (Pdg) de la société de presse et de communication Bok Sarl veut rééditer l’exploit pour une troisième fois. En effet, Daabaaru Agri est né au sein de cette agence référence de la communication dans le septentrion pour contribuer au développement agricole du pays. C’est un hebdomadaire qui paraît tous les mercredis pour mettre en lumière les réalités ignorées du monde agricole. Il vise également à mettre en relation les producteurs du Bénin avec leurs pairs de l’Europe. Une mission spécifiqueDaabaaru Agri c’est une presse thématique pour rapporter et analyser l’actualité agricole dans le septentrion, au Bénin et en Afrique de manière générale. Il est spécialisé sur les questions d’agriculture, de nutrition, de santé et surtout du changement climatique. Aux maux que laissent le changement climatique dans nos communautés rurales, Daabaaru Agri mettra des mots afin d’informer le public et que les gouvernants et les partenaires agissent plus vite au profit de ces communautés. Daabaaru Agri c’est aussi des rendez-vous réguliers sur les rubriques « Tebo N’gari », « Agriculture et Chiffres » et « Femmes et Agriculture ». La force de Daabaaru AgriUne mission, des hommes et des moyens, dit-on. Daabaaru Agri est animé par une équipe composée des spécialistes agronomes avec des connaissances solides en journalisme presse écrite. Prenez donc le rendez-vous chaque mercredi avec des rubriques « Tebo N’gari » pour lire des histoires personnelles des producteurs, « Agriculture et Chiffres » pour lire l’évolution en chiffres du secteur, « Femmes et Agriculture » pour lire le rôle de la femme sous toutes ses formes (entrepreneuriat, innovation, etc.) dans le secteur agricole, etc. Daabaaru Agri aborde des domaines diversifiés et variés du monde agricole pour informer autrement. Il ne vous reste maintenant qu’une seule adresse chaque mercredi, c’est Daabaaru Agri sis au quartier Wansirou, carrefour aérodrome, immeuble Daabaaru, Parakou aux (+229) 95954268/63066306.

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